La directive européenne sur les concessions restera un sujet d’experts confiné aux arcanes de l’exécutif, qui adoptera une ordonnance neuf mois après l'entrée en vigueur de la loi Macron sur la croissance, dont l'avant-projet a été remis au Conseil d'État le 17 novembre.
Officialisé par le chapitre IV du texte, ce choix prend le contre-pied des annonces faites au printemps. À l’époque, l’ex-ministre de l’Économie Pierre Moscovici comptait recourir à un projet de loi.
Quelques mois auparavant, les parlementaires avaient…