Se taire et laisser dire. Voici pour l’heure la stratégie employée par Ursula von der Leyen dans la drôle de campagne qui s’amorce, à un an de la remise en jeu de son poste à la présidence de la Commission européenne. À ce jour, l’Allemande, avare en interviews, n’a fait aucune déclaration publique dévoilant ses intentions et préfère laisser cheminer les spéculations, déjà foisonnantes.
Plusieurs sources haut placées assurent qu’elle a commencé à distiller des indices en privé, mais davantage…