Après une semaine de rencontres tendues entre Européens, Russes et Américains, l’atmosphère est toujours électrique à Bruxelles.
« Nous restons sérieusement préoccupés par la situation actuelle », a averti jeudi 10 février le chef de la diplomatie de l’UE, Josep Borrell.
« C’est un moment dangereux pour la sécurité européenne. Le nombre de forces russes augmente et le temps d’alerte pour une éventuelle attaque diminue », a pour sa part jugé le chef de l’Otan, Jens Stoltenberg, après un entretien…