La Commission ne veut plus prendre des coups à la place des États. Le dossier du glyphosate, qui fait la une des médias en France en ce moment, en est un exemple.
Lors du premier renouvellement de l’autorisation de mise sur le marché de ce pesticide, en juin 2016 (et pour 18 mois), les pays de l'UE ont pris soin de laisser le dossier en suspens en s’abstenant de voter sur le sujet lors de leur réunion au Conseil. L'idée…