"Je ne vois pas de raison majeure pour organiser un sommet exceptionnel." À l’issue d’une réunion avec les responsables des partis politiques allemands lundi 29 juin, Angela Merkel a joué la carte de la fermeté sur le dossier grec.
On pourrait prendre la sortie de la chancelière, considérée comme l’actrice-clé d’une éventuelle sortie de crise, comme une nouvelle étape de la partie de poker menteur en cours entre les Européens et Athènes. C'est une réponse à l’appel par le gouvernement…