"Ce non, c'est un camouflet pour tous ceux qui se sont battus pour le maintien de la Grèce dans la zone euro."
Le ton est très dur à Bruxelles au lendemain du référendum. Il reflète à la fois une certaine amertume et de la colère contre Alexis Tsipras. Car le premier ministre Grec a sciemment fait campagne et appelé à voter contre les dernières propositions des créanciers, rendues publiques par Jean-Claude Juncker, en laissant croire que fort de ce non…