Il y avait, à l’issue du vote le 22 novembre, deux salles deux ambiances à la sortie de la tribune des observateurs de l’hémicycle, venus en nombre. D’un côté, les représentants de divers lobbys industriels, satisfaits du vote qui a largement penché en leur faveur. De l’autre, les représentants d’ONG, aux mines plus déconfites. Pour ces derniers, il s’agissait d’aller évaluer l’étendue des dégâts.
Du côté des eurodéputés aussi, la satisfaction des uns tranchait avec la déception des autres. Le…