Un an après la reconduction d’Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne pour un second mandat, sa pratique du pouvoir prend plus que jamais la forme d’une hyperprésidence. Le système de concentration des pouvoirs mis en place par la conservatrice allemande questionne jusqu’à la capacité d’action des autres commissaires.
En quoi cette centralisation est-elle inédite ? Quelles conséquences a-t-elle sur la pratique du pouvoir ? Que nous apprend la multiplication des « dialogues stratégiques » lancés par la présidente de la Commission ?
Découvrez le décryptage des journalistes de Contexte Pouvoirs et Contexte Agro.
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