Depuis la libéralisation des liaisons longue distance par bus, , en 2013, la Deutsche Bahn fait grise mine. Les concurrents lui taillent des croupières avec des tarifs agressifs : un Berlin-Munich est proposé à partir de 22 euros, contre 130 euros en train, avec un temps de transport allongé de moins d'une heure. La DB a ainsi accusé un manque à gagner de 200 millions d'euros en 2014 à cause des opérateurs d'autocars. La rentabilité des grandes lignes s'est effondré…
L’offensive de la Deutsche Bahn face à l’essor des autocars
18 mars 2015 à 17h03