La réforme esquive deux enjeux importants : le traitement du stock de dette ferroviaire, renvoyé à un rapport gouvernemental et la préparation de l’ouverture à la concurrence. Êtes-vous déçu?
Une loi ordinaire ne peut pas traiter la question de l’endettement. Il faudrait recourir à une loi de finances ou une mesure gouvernementale. Mais il est vrai que l’enjeu demeure.
Néanmoins, j’ai fait prendre une mesure prudentielle qui existe aussi en Allemagne : si les nouvelles lignes développées ne permettent pas à SNCF…