Cette dernière mouture introduit de nouvelles exemptions pour les services répressifs : d’une part, ces derniers peuvent déroger au principe des « quatre yeux », qui prévoit une vérification du système à haut risque par deux personnes, d’autre part, les systèmes utilisés dans ce secteur (et leurs fournisseurs) ne sont pas obligés de s’enregistrer dans la base de données européenne.
Autre changement : Prague réintroduit le secteur des assurances dans les cas d’usage à haut risque listés dans l’annexe III…