Travail de sape du moteur franco-allemand, procès en germanophobie, propos belliqueux, recherche de bouc émissaire… Le psychodrame hexagonal né du document sur l’Europe du parti socialiste a suscité plus de réactions de leurs auteurs et de leurs détracteurs que de la principale intéressée.
De son propre chef, le PS
a fini par substituer
les critiques envers la « droite allemande » aux foudres initialement dirigées contre Angela Merkel, dépeinte en "
chancelière de l'austérité
", « intransigeante » et «…
Virulence du PS face à Angela Merkel, amnésie face à la gauche allemande
01 mai 2013 à 19h10