Au moment de sa désignation à la tête de l'Eurogroupe en janvier, le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem faisait office de synthèse entre le Nord et le Sud, les conservateurs et les sociaux-démocrates. Trois mois à peine après sa prise de fonction, le travailliste devient clivant et son imprudence contraint certains chefs d'Etat à sortir du bois.
"Il est très important, pour maintenir la confiance, de non seulement prendre des décisions mais également d'agir avec beaucoup de précision et de mesure", a réclamé…