Les lobbyistes n’hésitaient pas à revêtir leurs habits de Cassandre en 2016, lorsque la loi Sapin 2 était en discussion. Au sujet de son décret d’application sur les représentants d’intérêts, ils prédisaient des contraintes bureaucratiques « soviétiques » , selon le mot de Laurent Mazille, alors président de l’ARPP devenue Apap (Association des professionnels des affaires publiques).
La loi du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie…