Les effets politiques ont été immédiats. Dès les premiers soubresauts de la zone euro, à l’automne 2011, la Première ministre slovaque a dû se sacrifier pour permettre de faire ratifier, par son Parlement, le Mécanisme européen de stabilité créé pour financer l'aide aux pays en difficulté.
À la même époque, le Président du Conseil italien, Silvio Berlusconi a été poussé vers la sortie, pour éviter de voir le pays se faire attaquer par les marchés financiers.
Et, la même année,…