« La météo de janvier n’est pas un bon outil pour anticiper celle d’avril. » Avec ce tweet ironique , le directeur de recherche d’Ipsos, Mathieu Gallard, répondait à Libération, qui venait de publier un graphique titré « Les sondages de janvier donnent rarement le résultat de la présidentielle », le 5 janvier.
L’échange résume bien la polémique récurrente autour des études d’intentions de vote publiées plusieurs mois avant un scrutin : pour les uns, des boules de cristal aux…