Génération 700, mileuristas, bamboccioni, les 99%, les Neet* ou les Nini… Ces drôles de sobriquets, compilés dans les carnets des sociologues observateurs de la crise, trouvent désormais écho dans le langage courant. Preuve, s’il en fallait, que le décrochage de la jeunesse prend une tournure nouvelle, plus menaçante et plus visible.
« A travers leurs discours, leurs mots d’ordre et leurs slogans », les indignés « se situent d’emblée dans une perspective transnationale, européenne voire internationale, ne serait-ce que parce…
Emploi : le grand bond en arrière de la jeunesse européenne
30 janvier 2012 à 9h00