Avec la déroute de la majorité présidentielle, le renforcement de l’extrême droite, des sociaux-démocrates et de la gauche radicale, ainsi que le rétrécissement de la délégation des Verts, les résultats français aux élections européennes suffisaient à rebattre les cartes de l’influence tricolore au Parlement européen. La dissolution de l’Assemblée, le 9 juin au soir, et la campagne express pour les législatives du 30 juin et du 7 juillet ont achevé de perturber l’installation des eurodéputés français, partagés entre Paris et…
À Bruxelles, la rentrée des députés européens français percutée par les législatives
25 juin 2024 à 7h59