Comment évaluer, rapidement et sans moyens supplémentaires, la toxicité de milliers de substances chimiques susceptibles de causer un dérèglement hormonal ?
L’Anses tente de résoudre cette délicate équation dans deux avis rendus ce jeudi 15 avril. L’établissement public a été saisi par les ministères de la Santé et de la Transition écologique dans le cadre de la deuxième stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (2019 – 2022).
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), trois critères doivent être remplis pour…