« Je ne comprends pas celles et ceux qui opposent la défense de nos agriculteurs et de l’environnement. »
Le 26 janvier en Haute-Garonne, dans sa tentative de désamorcer la fronde agricole qui secoue la France, Gabriel Attal s’est efforcé de ne pas donner l’impression que les mesures de soutien qu’il annoncerait se feraient au détriment de l’environnement. Les revendications de la FNSEA, publiées deux jours plus tôt, pouvaient le laisser craindre.
À rebours de cette déclaration, le Premier ministre…