On ne s’attendait pas, à Bruxelles, à ce que les États membres reviennent en détail sur le premier volet du projet d’espace européen des données de santé (EEDS). Et pourtant, les nouvelles propositions de compromis présentées aux experts nationaux le 24 avril par la présidence suédoise, publiées le jour même par Contexte, portent essentiellement sur l’utilisation « primaire » des données, par les médecins et les patients.
Les Vingt-Sept consacrent tout d’abord le droit de ces derniers à accéder «…