Dégâts de gibier : la secrétaire d’État à la Biodiversité aux prises avec un arbitrage compliqué 

Les mondes agricole et cynégétique ont mis de côté fourches et fusils pour aboutir enfin à un accord sur les dégâts de gibier, notamment des sangliers. La version définitive des propositions étant quasiment finalisée, les professionnels espèrent que l’administration donnera rapidement son aval.
28 janvier 2021 à 8h00
Agro
Il y a une volonté commune, des professionnels comme de l’Etat, pour faire aboutir le dossier relatif aux dégâts de gibier. . PxHere
par Hélène Chaligne

Le 12 janvier, bien que pas tout à fait scellé, un accord entre la FNSEA, l’APCA (chambres d’Agriculture), la Coordination rurale, la Confédération paysanne, et la Fédération nationale des chasseurs (FNC) a été présenté aux cabinets du ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, et de la secrétaire d’État chargée de la Biodiversité, Bérangère Abba. Plusieurs sources impliquées dans ce dossier l’ont indiqué à Contexte, toutes d’accord sur un point : la route a été longue pour en arriver là, alors, chacun…

À lire également

Planification écologique : pourquoi chasseurs et agriculteurs ne sont pas inquiets Planification écologique : pourquoi chasseurs et agriculteurs ne sont pas inquiets
Pxhere

Planification écologique : pourquoi chasseurs et agriculteurs ne sont pas inquiets

L’irruption du concept de planification écologique dans le discours présidentiel devrait peu bouleverser ces deux secteurs à court terme. Car les promesses de campagne d’Emmanuel Macron en matière de chasse, et les dernières décisions de son ministre de l’Agriculture, vont compliquer le jeu de sa nouvelle Première ministre, Élisabeth Borne.
Second mandat d'Emmanuel Macron
·
Planification écologique
·
Agriculture - Environnement
·
Agriculture et environnement
À l’Agriculture, les services soulagés par le départ de Didier Guillaume À l’Agriculture, les services soulagés par le départ de Didier Guillaume
Pixabay

À l’Agriculture, les services soulagés par le départ de Didier Guillaume

Passée la sidération face à l’éviction du ministre de l’Agriculture, la nouvelle de son départ est une libération pour l’administration. Entre ambiance délétère et management jugé tyrannique, Didier Guillaume et certains membres de son cabinet laissent derrière eux une impression désagréable dans les couloirs de la rue de Varenne… que les services n’oublieront pas.
Agriculture

La source d’info politique dont les professionnels ont besoin.

15 jours d’essai gratuit. Sans engagement, pas de carte de crédit requise.

Prendre un essai

Vous êtes intéressé par les sujets liés à l'édition Agro ?

Elections chambres d'agriculture Projet de loi d'orientation agricole Crise agricole Pesticides Politique Agricole Commune Planification écologique Nouvelles Techniques Génomiques Bien-être animal
En savoir plus