Peu de propositions ambitieuses devraient ressortir du Conseil des ministres du 19 février, malgré l'inflexion donnée par François Hollande en faveur de l’axe Paris-Berlin et la tentative orchestrée par la chancelière de propulser la protection des données sur le devant de la scène. Ce n’est pas une surprise : l’an dernier, le traditionnel rendez-vous bilatéral n’avait pas été le théâtre de grandes annonces, même si la célébration du cinquantenaire du traité de l’Élysée suffisait à créer l’événement.
Un conseil des ministres franco-allemand d’envergure modeste
18 février 2014 à 14h00