Effervescence à Berlin, le 7 février, sur un dossier lié à l’industrie automobile négocié à Bruxelles. Et un goût de déjà-vu. Les représentants des États n’ont finalement pas ado pté, ce jour-là, l’accord final sur la réduction des émissions de CO₂ des poids lourds.
La présidence belge du Conseil de l’UE, négociatrice en cheffe jusqu’à juin, n’était pas certaine d’obtenir la majorité qualifiée « confortable » initialement escomptée sur le texte final. L’Allemagne ne sait plus si elle peut voter…