Le scénario était écrit : à partir de mi-juin, tous les regards devaient se tourner vers les Jeux olympiques. Après des années de préparation, ils s’annonçaient comme un climax pour les transporteurs, les opérateurs, l’administration et les cabinets ministériels. Brandissant fièrement ses « 125 plans de transports alternatifs en cas d’aléa », le comité de pilotage des JO pensait avoir paré à toutes les éventualités… C’était sans compter les élections législatives anticipées.
« L’irruption de la politique dans ces Jeux…