À moins d’une semaine d’intervalle, Alstom a eu plusieurs fois les oreilles qui sifflent. Valérie Pécresse le 3 octobre puis Renaud Muselier six jours après, ont tous les deux organisé des conférences de presse où ils ont affiché leur mécontentement. Dans les deux cas, l’industriel est mis en cause pour ses retards de livraison de rames. Le sujet dépasse largement l’enjeu commercial. Il devient un problème majeur pour le développement de l’offre ferroviaire. « On est bridé », a résumé…
Alstom : la défiance devient matérielle
10 octobre 2024 à 8h00