Peu importe si elle manque d'argent sonnant et trébuchant, la promesse à 315 milliards d'euros du nouveau Président de la Commission européenne tient les secteurs professionnels en haleine. Le transport pourrait représenter jusqu'à un tiers de cette somme, provenant essentiellement de ressources privées.
En France, la filière guette avec impatience l'arrivée de nouvelles sources d'investissements, capables de compenser la disette budgétaire nationale, aggravée par la perte des recettes de l'écotaxe. "Si ce n'est pas au niveau français, peut-être au niveau…