Vous étiez précédemment déléguée de l'UMP à la parité. Pourquoi être passée au numérique ?
C'est un sujet sur lequel j'ai beaucoup travaillé au sein de la commission des Affaires culturelles depuis que j'ai été élue députée en 2012. J'ai fait partie de la commission sur les libertés numériques, composée de 13 députés de tous bords et de 13 experts. J'ai également beaucoup lu sur ces questions.
Sur mon terrain d'élection, en Haute-Savoie, je m'intéresse beaucoup aux aspects industriels. Les…