Dans sa proposition de compromis du 25 avril, la présidence française suggère qu'une plus grande flexibilité soit accordée à différentes entités. Aux organismes d’évaluation de la conformité des systèmes d'IA à haut risque, tout d'abord : ces derniers devraient, estiment-elles, bénéficier de plus de marges quant à la composition et la mise à disposition de leur personnel.
Même chose pour les fournisseurs de systèmes d’IA à haut risque déjà commercialisés. Paris suggère de leur « offrir davantage de souplesse »…