De la « passion » et un investissement complet dans son poste, « pour l’intérêt général ». La ligne de Thierry Breton était claire dès ses réponses écrites , transmises le 12 novembre au Parlement. Face à des députés peu offensifs, à l’exception notable des Verts et de la GUE, il a montré sa maîtrise des dossiers, en particulier numériques, et sa volonté de défendre l’Union.
L’ancien ministre de l’Économie sous Jacques Chirac n’a pas échappé aux questions sur ses…