À mesure que l’échéance électorale se rapprochait, la perspective d’un accord s’éloignait . « En ce moment, tout est plus polarisé à cause de la campagne électorale », reconnaît l’un des négociateurs. Le risque de ne pas obtenir d’accord et arriver ainsi bredouille aux élections européennes de juin 2024 était grand : « Il fallait que l’on ait quelque chose à montrer aux patients et aux citoyens », estime-t-il.
Conclure avant le scrutin, c’est aussi ne pas risquer de détricoter…