Depuis des mois, la libéralisation de la plantation des vignes empoisonne les discussions entre Paris et Bruxelles sur l’agriculture.
Aujourd’hui, pour pouvoir mettre en terre de nouveaux pieds, les viticulteurs doivent prouver que leurs plantations rencontrent des débouchés sur le marché du vin et assurent des retombées économiques à la production.
Lobbying français
Or, en 2008, les États de l’UE et la Commission se sont mis d’accord pour libéraliser les droits de plantation des nouvelles vignes. Le règlement adopté prévoit…