"La candidature d’adhésion à l’UE de la Serbie sera jugée avant toute chose sur la capacité du pays à traiter pacifiquement avec tous ses voisins, ce qui implique le maintien de relations viables et coopératives avec le Kosovo, sans tenir compte du futur statut qu’obtiendra son ancienne province", a déclaré le professeur. "Alors que les relations entre la Bosnie et la Croatie pourraient s’améliorer, le futur État kosovar représente toujours un problème majeur pour le leadership de la Serbie", a-t-il…
Radojković : « Le Kosovo, principal obstacle sur la route européenne de la Serbie »
25 janvier 2010 à 16h52