Le dossier des droits de plantation, qui empoisonne les relations entre les viticulteurs européens et Bruxelles, est sur le point de connaitre une issue satisfaisante pour les deux parties.
Soutenus par 16 États dont la France, les professionnels du secteur veulent continuer à maîtriser leur production. Ils bataillent depuis plusieurs mois contre une directive adoptée en 2008 (et donc validée par les gouvernements), qui supprimera d’ici la fin de l’année 2018 l’obligation actuelle de demander une autorisation avant de planter…