La réforme de la fonction publique parlementaire engagée par François de Rugy ressemble à une retraite en rase campagne. Le président de l'Assemblée recule devant la grogne de ses fonctionnaires. Le Bureau, réuni le 11 juillet, se contente d'une remise à niveau minimale, bien loin des propositions formulées par les deux secrétaires généraux en mai.
Éteindre l'incendie
Les mesures envisagées ont suscité un vent de colère inédit à l'Assemblée. Certains syndicats ont même, pendant un temps, agité la menace d'une…