Si l’automne budgétaire fut glacial entre la France et les autorités européennes, le printemps s’annonce plus clément.
La reprise de la croissance (1,1% prévu cette année en France selon l'OCDE et la Commission , puis 1,7% en 2016) coïncide avec d’autres arguments favorables à Paris. En 2015, le déficit atteindrait 3,8% du PIB, soit légèrement en deçà de la projection de 4% mentionnée dans la recommandation budgétaire européenne de mars , qui renvoie à 2017 la clôture du conflit sur…