La question des organismes génétiquement modifiés empoisonne les relations entre les États et la Commission depuis une dizaine d’années. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Lundi 11 juin, pour une énième fois, un petit groupe de pays incluant la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et la Belgique ont rejeté le projet de compromis proposé par la présidence tournante de l’UE.
"Nous avons pratiquement tout tenté, mais nous avons échoué", a reconnu Ida Auken, la ministre danoise en charge du dossier…