L’exercice redoutable d’endurance auquel les dirigeants se sont livrés a abouti à un plan qui répond aux trois priorités attendues : décote d’au moins 50% subie par les détenteurs de dette grecque, démultiplication des effets du Fonds de secours (FESF) et recapitalisation des banques. Sans surprise, le gouvernement a immédiatement salué l’accord décroché par les Dix-Sept : C’est "une réponse ambitieuse, globale et crédible" à la crise, pour le ministre des Finances François Baroin, "un accord complet" pour le Quai…
Plan de sauvetage salutaire ou pacte avec le diable ?
27 octobre 2011 à 18h10