« L’Espagne a déjà fait beaucoup, mais elle devra probablement faire plus pour retrouver la confiance des marchés ». Le message de la chancelière Angela Merkel, prononcé le 22 octobre devant les jeunes de la CDU, a été quelque peu brouillé dès le lendemain par celui de la France. « Grâce aux efforts de M. Zapatero et au sens de la responsabilité de l’opposition, l’Espagne n’est plus en première ligne » de la crise, a tempéré Nicolas Sarkozy, lors du…
Les pays en crise ne sont pas forcément les plus dépensiers
25 octobre 2011 à 10h44