Après un week-end de folie et la valse boursière qui en a logiquement découlé lundi 29 juin, le président de la Commission est donc descendu dans l’arène. Sa mission : tenter de désamorcer la bombe référendaire larguée par le Premier ministre grec Alexis Tsipras contre le programme d’assainissement en cours de négociation avec l’ex-troïka.
Du jamais vu. Signe de la rupture consommée entre le Grec et le Luxembourgeois, Jean-Claude Juncker a clairement invité les citoyens hellènes à défier leur propre…
« Né » ou « ochi » (« Oui » ou « non »)
29 juin 2015 à 17h12