D’aucuns diront qu’il est déjà trop tard, que l’échec du partenariat oriental a ruiné, pour longtemps, la politique européenne de voisinage (PEV). Ce n’est pas faux. L’influence grandissante de la Russie, sans parler de l’annexion pure et simple de la Crimée, sur plusieurs Etats limitrophes de l’Union, en témoigne. Une véritable ligne de démarcation !
Comment, dès lors,
repenser la PEV
sans se fourvoyer et surtout sans renoncer au pourquoi de la PEV ? Un objectif compliqué que la Commission…
La « fête des voisins » n’est pas pour demain
04 mars 2015 à 16h14