Le service européen pour l’action extérieure (SEAE) présente des lacunes en matière d’organisation, de priorités et de ressources, auxquelles il convient de remédier sous la prochaine législature, estime la Cour des comptes européenne. Elle a publié le 30 juin une analyse du fonctionnement de ce corps diplomatique en charge de la politique étrangère et de sécurité commune, trois ans après sa mise en place et à quinze jours de la probable désignation du nouveau Haut représentant. « Il est temps…
La Cour des comptes épingle les lacunes du SEAE
30 juin 2014 à 14h40