Détérioration du climat des affaires, du marché du travail, consommation des ménages molle, mais suffisamment stable pour empêcher une récession. C’est le bilan tiré par la Commission européenne dans les prévisions macroéconomiques publiée, mercredi 7 novembre, au sujet de la France.
Sans surprise, Bruxelles revoit à la baisse le scénario de croissance prévu par le gouvernement. Avec 0,2% de progression du PIB en 2012, l’économie du pays restera « anémique », prévient la Commission, qui table sur une croissance de 0,4% l’an…