Dans un contexte de crise économique, l’Europe n’est certes pas l’enjeu principal de l’actuelle campagne législative, elle reste pourtant source de dissensions chez les trois candidats, que ce soit sur la question de l’euro ou de l’immigration.
Gordon Brown, l’euroréaliste
Sa popularité pâtit d’une baisse considérable dans les sondages. A quelques jours des élections, il ne dépasserait pas les 30% d’intentions de vote, plaçant ainsi les travaillistes en 3e position.
Côté Europe, Gordon Brown est perçu comme un pragmatique. On…