"Le gouvernement et le Parlement grecs ont pris leurs responsabilités. Il était légitime qu'en contrepartie l'eurogroupe démontre sa solidarité."
Pour le ministre français des Finances Michel Sapin, la décision prise par l'eurogroupe le 14 août d'accorder à la Grèce un troisième paquet d'aides pour un montant de 86 milliards d'euros sur trois ans allait de soi au lendemain de l'approbation par Athènes d'une série de nouvelles conditions imposées par ses créanciers.
Mais la décision n'a pas été aussi simple, et…