Le Premier ministre Alexis Tsipras peut se féliciter d’avoir fait monter au plus haut niveau politique le dossier grec avec l’organisation d’un sommet de l’eurozone le 22 juin, mais ses homologues sont restés clairs : "le travail n’est pas terminé". Et contrairement aux attentes de M. Tsipras, il n'est pas question d’une restructuration de la dette grecque où d’un "hair cut", a martelé la chancelière allemande Angela Merkel. Plus souple, le président François Hollande n'a pas exclu un tel débat…
Grèce : quarante-huit heures pour convaincre
23 juin 2015 à 15h42