Il est hors de question d’affaiblir la politique agricole commune. C’est la principale idée défendue par la France et l’Allemagne dans une contribution commune sur le sujet, publiée mardi 14 septembre.
Paris et Berlin plaident pour un maintien de la structure actuelle de la PAC, en deux grands axes (ou «piliers») : les paiements directs aux agriculteurs, et le soutien au développement rural. Ils s’opposent formellement «à toute renationalisation de la PAC par le biais d’un co-financement des paiements directs…