Ce qui devait être un accord entre bons amis vire à la querelle politique. Au printemps dernier, la France s’était montrée bienveillante à l’égard de la désignation de Mario Draghi, successeur de Jean-Claude Trichet à la tête de la Banque centrale européenne. A une condition toutefois : que Lorenzo Bini Smaghi, membre du directoire de la BCE, accepte de libérer son siège avant le terme de son mandat en 2013, pour laisser un Français entrer en scène. Paris aurait mal…
La France éclipsée par les Italiens au sein de la BCE
21 octobre 2011 à 20h03