La victoire militaire du Duc de Wellington à Waterloo a engendré des décennies de paix et de prospérité. Le Premier ministre britannique David Cameron, qui souhaite réécrire les conditions de l’appartenance de son pays à l’UE, espère bien que la bataille qu’il livre, plus moderne et plus diplomatique, permettra également d’apaiser les tensions et d’engendrer une situation prospère. Mais il est sous pression : les 25 et 26 juin prochains, il doit dire aux dirigeants de l’UE ce qu’il souhaite…
Cameron doit protéger ses arrières
22 juin 2015 à 18h12