La Commission européenne n’est pas encore certaine de pouvoir expliquer la volatilité des cours agricoles. C’est par cette affirmation que Bruxelles a répondu, mardi 25 janvier, aux vertes critiques de Nicolas Sarkozy, exprimée la veille.
Interrogé sur un future étude de l’exécutif bruxellois, qui concluerait notamment que la spéculation n’a pas de lien direct avec la hausse des prix des matières premières, le président français avait ironisé : «Je recommanderais une date pour la publier : le 1er avril.»
«Nous…